Live

  • 16h15 : La RTBF annonce deux personnes arrêtées peu avant le début de la manifestation pour « insultes aux forces de l’ordre ».
  • 16h05 : Fin du live.
  • 15h50 : Les différents dispositfs policier (autopompe, policers en scooter, combis) semblent se disperser.
  • 15h45 : La ligne de police qui empêchait l’accès au Rond Point Schuman se disperse.
  • 15h10 : Déploiement de 7 combis des deux cotés du parc. Ils font mouvement vers Mérode. Un hélicoptère est présent sur zone.
  • 15h : La police se déploie en haut du Parc du Cinquantenaire, coté Mérode.
  • 14h53 : La police ferme une rue en plus. Avenue de la Joyeuse Entrée 24, 1000 Bruxelles, Belgique.
  • 14h50 : Risque de nasse entre le Parc du Cinquantenaire et Shuman.
  • 14h45 : La manifestation arrive au Rond Point Schuman. La tension monte. Une ligne de police signalée bloque l’accès.
  • 14h35 : Présence de 4,5 fascistes non-affichés dispersés dans la manifestation.
  • 14h35 : 6 Combis de police signalés Place Stéphanie.
  • 14h30 : Dispositif policier important, dont des policiers avec des chiens ainsi qu’une autopompe, signalé autour de la manifestation.
  • 14h30 : La manifestation est à l’arrêt Place Jean Rey. La manifestation se remet en route.
  • 14h20 : La manifestation passe la Gare de Bruxelles Schuman.
  • 14h15 : La manifestation arrive à Maelbeek.
  • 14h10 : La manifestation passe le croisement Rue de Trêve et Belliard.
  • 14h : La manifestation se met en route au départ de Place de Luxembourg. Elle se dirige vers Rue Beilliard.
  • 13h55 : Place du Luxembourg, présence de policiers en civil autour du rassemblement.
  • 13h40 : Deux antifascistes arrêtées probablement aux environs de la Place du Luxembourg.
  • 13H30 : Autopompe signalée square de Meeus.
  • 13h20 : Policiers en nombre signalés Gare du Luxembourg.
  • 13h05 : 3 combis de police rue Montoye,  5 au Square de Meeus ainsi que 4 combi Carrefour de l’Europe. Présence de policiers en nombre Place de Londres.
  • 13h05 : Il y aurait environ 15 arrestations à trône (Très probablement des fascistes qui avaient annoncé leur présence).
  • 12h50 : Dispositif policier important à trône.
GJ Dispostif Policer à trône

GJ Dispostif Policer à trône

  • 12h50 : Place du Luxembourg, contrôle systématique (sac, identité, prise de photo, prise de photo des drapeaux) en particulier des jeunes.
  • 12h30 : Beaucoup de policiers signalés Place du Luxembourg (notamment tout autour). Une personne aurait été arrêtée (à confirmer).
  • 11h50 : Début du live !

Ce 30 novembre, à l’occasion de la manifestation des Gilets Jaunes qui aura lieu à 13h à la Place du Luxembourg sous haute surveillance policière (évenement Facebook), notre permanence téléphonique anti-répression est ouverte à partir de 12h. Vous pouvez la joindre, en priorité via l’application Signal, mais également via Whatsapp, appel et SMS. Nous maintiendrons également sur cet article un direct écrit de la manifestation. Notez également l’adresse centrale de notre pôle « legal team et antirépression » sur secoursrouge.org/antirep

+32 467 705 874

Dans quels cas nous contacter ? Comment s’informer ?

  • Si vous voyez des arrestations, une nasse, des violences policières, ou d’autres infos utiles, en précisant le moment et le lieu.
  • Si vous ou quelqu’un d’autre est arrêté.
  • Dans cet article, ci-dessous !

Suite à des problèmes technico-administratifs, le compte sur lequel nous récoltions des fonds jusqu’à présent est à présent fermé. Dès à présent, nous acceptons les dons sur le compte de « Solidarité », BE97 0689 3605 2249. Malheureusement, ce changement de compte veut également dire que nous perdons les ordres permanents qui avaient été souscrits jusqu’à aujourd’hui.

Nous avons donc besoin de votre aide ! Les ordres permanents (de 5€, 10€, 20€,…) et les donations ponctuelles nous aident à maintenir nos nombreuses activités, parmi lesquelles :

  • Le maintien de nos sites internet, leur maintenance, protection, etc…
  • L’information quotidienne sur la répression, la résistance à la répression, les prisonniers politiques, etc…
  • La création de brochures, affiches, autocollants et d’autres matériels d’information et de prévention sur la répression, la résistance et les prisonniers politiques.
  • Le soutien matériel aux prisonniers, aux militants en procès, aux luttes en cours.
  • L’impression de banderoles, drapeaux, l’achat de matériels pour les manifestations.
  • Le maintien du Local Sacco-Vanzetti qui héberge et organise des activités politiques et solidaires à Bruxelles.
  • Ainsi que de nombreuses autres activités.

Comment nous aider ?

  • En faisant un ordre permanent sur le compte BE97 0689 3605 2249.
  • En faisant des dons ponctuels sur ce compte.
  • Vous pouvez également faire des dons de matériels ou proposer vos talents, voyez la page « soutien » ici.

Salutations internationales aux prisonnier·e·s révolutionnaires à l’occasion de la Conférence de Travail du Secours Rouge International, novembre 2019.

Les délégué·e·s de Belgique, Suisse, Italie, Allemagne et Turquie/Kurdistan présent·e·s à la Conférence de Travail 2019 du Secours Rouge International vous adressent leurs salutations les plus chaleureuses.

La conférence s’est tenue dans un contexte général de progrès du fascisme sous toutes ses formes : du fascisme déchaîné au pouvoir en Turquie à l’action des gangs néo-nazis ou islamistes en passant par les politiques gouvernementales racistes et répressives des États de l’Union Européenne.

Cette tendance est issue de la crise générale du capitalisme, qui ne peut répondre aux aspirations des peuples que par la répression et la violence. Le SRI a toujours considéré que la dialectique lutte/répression/résistance était une partie importante, organique, du processus révolutionnaire. Il faut assumer cette dialectique comme partie intégrante de la tendance à la guerre de classes, un espace de maturation et de qualification de la lutte révolutionnaire.

Cette perspective prend un caractère concret avec le développement de nouveaux mouvements de masse, comme celui des Gilets Jaunes en France, des mouvements populaires au Chili, etc. Ces mouvements sont eux aussi issus de la crise générale du capitalisme, et ils expriment, par de nouvelles voies, l’aspiration des peuples à un changement de société. Ces mouvements sont confrontés à une répression très brutale, à laquelle ils offrent, ne serait-ce que par leur continuité, une résistance admirable. La défense des luttes dans la rue est l’une de nos préoccupations dans la période actuelle.

Les enjeux de la résistance du Rojava à l’agression fasciste turque concernent tout le mouvement révolutionnaire. Le destin politique de l’Europe est étroitement lié à celui du Moyen-Orient, et le Rojava est la principale ligne de front. On y voit s’opposer de la manière la plus nette et la plus radicale le projet de société nouvelle aux formes les plus barbares de répression et de réaction. Cet enjeu est assumé par les internationalistes (notamment ceux du Bataillon International de Libération) dont 48 ont payé de leur vie cet engagement. Notre campagne pour fournir les combattant·e·s du Rojava en matériel médical de première ligne est notre contribution modeste, mais effective. La délégation turque a souligné, à notre conférence, l’importance de l’internationalisme, dans toutes ses formes et à tous les niveaux d’action, dans cet affrontement d’une portée internationale.

Le succès du mois d’agitation pour Georges Abdallah est l’expression d’une autre facette de notre travail qui unit la défense des prisonnier·e·s révolutionnaires à la valorisation des causes qu’ils incarnent, dans le cas de Georges à la cause du peuple Palestinien. Cette mobilisation prend un sens tout particulier alors que les peuples arabes, notamment en Irak et au Liban, descendent dans la rue contre des régimes réactionnaires et corrompus.

Malgré les progrès du fascisme et de la réaction, impulsés par le système pour désamorcer les conflits que sa crise génère, les luttes de classes et populaires constituent une alternative puissante, à laquelle nous contribuons dans la mesure de nos moyens. Vous êtes une part de cette alternative, comme dans cette lutte contre la section spéciale d’isolement de la prison de l’Aquila, partie de la lutte contre la loi 41bis, qui a montré que la détermination et l’unité entre prisonnier·e·s révolutionnaires de différentes tendances, renforcée par la solidarité extérieure et intérieure, pouvait déboucher sur une victoire.

C’est en soulignant votre importance pour le processus révolutionnaire et en saluant votre résistance dans les prisons que nous vous adressons, cher·e·s camarades, nos salutations les plus chaleureuses.

Mozilla, l’éditeur du navigateur Firefox, a annoncé début octobre son intention d’intégrer OpenPGP et Enigmail a son logiciel de messagerie et de gestion d’e-mails, Thunderbird. Le portage est actuellement prévu pour la version 78 qui devrait être publiée en été 2020. Cette décision fait suite à une modification du code de Thunderbird qui rendra l’extension Enigmail incompatible après la version 68 du logiciel (c’est la version actuelle, 68.2). Malheureusement, pour des raisons de licences incompatibles (les licences sont les conditions de modification, distribution, intégration de logiciels) l’affaire ne sera pas simple. Si les développeurs ne trouvent pas une bibliothèque alternative à GnuPG pour implémenter le protocole OpenPGP dans leur logiciel, ils seront obligés d’en écrire une pour l’occasion. Ils seront aidé par Patrick Brunschwig, qui développe Enigmail depuis 17 ans.

Pendant des années, le logiciel de chiffrement PGP a été la principale façon sécurisée de communiquer, notamment dans les sphères militantes. Son utilisation était complexe, notamment car elle nécessitait l’installation de trois logiciels : Thunderbird, une bibliothèque PGP (GPG pour Linux, GPG4WIN pour Windows, GPGTools pour MacOS ou OpenKeychain pour Android, entre autres) et le plug-in Enigmail qui faisait le lien entre les deux pré-cités. PGP ne profitait en outre pas d’une large communauté d’utilisateurs, ce qui rendait son utilisation encore plus difficile. L’arrivée d’applications mobiles de messagerie instantanée très sécurisées et très simples d’utilisation comme Signal (la seule que nous recommandons) a changé la donne. Signal est très largement utilisé et ne nécessite pas une formation pour être utilisé. La décision de Mozilla semble donc être bien tardive.

Dossier(s): Dossiers Tags:

Tails a annoncé aujourd’hui la version 4.0, une mise à jour majeure donc, de son système d’exploitation sécurisé, référence de nombreux militants. Au menu des nouveautés, Tails est désormais basé sur Debian 10, KeePassX est remplacé par KeePassXC, Onionshare et Tor Browser sont accompagnés de nouvelles fonctionnalités, MAT (Metadata Anonymisation Toolkit) est à présent directement intégré à l’explorateur de fichiers (il suffit d’un clic-droit et « effacer métadonnées), le « Tails Greeter » (menu d’accueil qui permet de déchiffrer un stockage persistant ou de définir un mot passe administrateur) a été amélioré pour les utilisateurs non-anglophones et le clavier à l’écran (utilisable avec la souris pour déjouer les keyloggers) est plus simple à utiliser. Enfin, Tails 4.0 est plus performant : il est 20% plus rapide à démarrer, utilise 250Mb de RAM en moins, et pèse 47Mb de moins que les versions précédentes. Le support des périphériques Thunderbolt a été ajouté ainsi que le tethering depuis un iphone. La liste officielle des changements peut être consultée ici.

Pour commencer à utiliser Tails, c’est ici.

Tails

Tails

« J’ai décrété l’état d’urgence et, à cette fin, j’ai nommé le général de division Javier Iturriaga del Campo à la tête de la défense nationale, conformément aux dispositions de notre législation concernant l’état d’urgence », a déclaré le président chilien dans un message au palais gouvernemental. Santiago du Chili a été le théâtre de violents affrontements une bonne partie de la journée entre les forces de l’ordre et des manifestants, qui ont obligé les autorités à boucler toutes les stations de métro. Les affrontements se sont multipliés à la tombée de la nuit et le bâtiment de la compagnie d’électricité Enel ainsi qu’une succursale de Banco Chile, tous deux dans le centre-ville, ont été incendiés.

Avant que les stations de métro ne soient bouclées, des appels à monter dans les trains sans billet avaient circulé, pour protester contre l’augmentation des prix des tickets de métro, passés de 800 à 830 pesos (1,04 euro) aux heures de pointe, après déjà une première augmentation de 20 pesos en janvier dernier. L’ensemble du réseau a été fermé en raison des émeutes et des destructions qui ont touché presque l’intégralité des 164 stations, où beaucoup de barrières et tourniquets ont été détruits. En divers endroits de la ville, des manifestants ont érigé des barricades et se sont heurtés à la police, qui a fait usage de canons à eau et de gaz lacrymogènes, des scènes de bataille de rue plus vues depuis longtemps dans la capitale chilienne. Jeudi, 133 personnes avaient été arrêtées pour des dégradations dans les stations de métro, où les dommages se montent selon le gestionnaire à 400 à 500 millions de pesos (630.000 euros).

Le siège d'ENEL en feu

Dossier(s): Amérique Latine Tags: ,

Nous tentons habituellement de fournir quotidiennement les actualités du Rojava. Fournir ces informations est devenu incroyablement compliqué dans les dernières 48h, car une immense confusion règne diplomatiquement, militairement et politiquement. Nous ne prendrons donc aujourd’hui pas le risque de relayer des informations invérifiables. Au lieu de cela, le Secours Rouge a contacté une personne actuellement présente au Rojava pour tenter d’obtenir des éléments de réponse face à ce qui est probablement la situation la plus confuse en Syrie d’histoire récente.

« Cette nouvelle situation ne doit pas arrêter la solidarité qui a été construite ces derniers mois. Il y a des rassemblements massifs dans les rues et nous devons les poursuivre. Les télévisions ici sont pleines d’images des rassemblements de masse et il est très important qu’ils ne baissent pas en intensité et qu’ils puissent renforcer la résistance ici. Il ne faut pas que cette confusion amène à une situation où la solidarité faiblit. Nous devons continuer à descendre dans la rue, à élargir et à renforcer la solidarité. C’est ainsi que nous renforcerons nos amis, en faisant de la solidarité un facteur décisif dans cette guerre. Car la guerre n’est définitivement pas terminée, mais elle est devenue beaucoup plus complexe qu’avant, il ne s’agit plus uniquement des fascistes turcs présents à la frontière avec leurs frappes aériennes et leurs armements lourds, maintenant c’est devenu beaucoup plus compliqué. Le seul facteur qui peut aider les Kurdes et les internationalistes c’est la plus forte solidarité. Le mouvement se défend, Serekanye est un point très important que nous devons tenir, car elle n’est pas tombée. Il y a aussi beaucoup d’internationalistes et la résistance de Serekanye fonctionne toujours bien, elle travaille très dur et très bien. Donc nous devons appuyer la victoire de Serekanye, nous devons appuyer les forces de notre côté afin qu’elles soient capables de repousser l’ennemi. Nous devons faire un lien entre la solidarité là-bas et la résistance ici. Car beaucoup de gens sont partis, mais beaucoup de gens sont restés et sont prêts à se défendre et à défendre leur société. C’est une situation très étrange, c’est une bonne situation, nous ne devons pas paniquer, c’est calme, la vie continue. Renforcez la solidarité. »

Nous vous invitons donc à continuer à rejoindre les mobilisations en soutien au Rojava, comme celle qui aura lieu à Bruxelles demain (Schuman, 12h).

La décision prise ce soir par l’Auto-administration du Nord et de l’Est de la Syrie (« gouvernement du Rojava ») fait prendre un tournant historique au Rojava. Face à l’invasion turque, un accord vient d’être signé avec le régime syrien.

Extrait : « Durant les cinq dernières années, les crimes les plus odieux ont été commis contre des civils non-armés. Les FDS ont répondu avec dignité et courage, résultant en la mort de ses combattants, afin de sauver l’intégrité syrienne. Néanmoins la Turquie poursuit ses assauts. En conséquences, nous devions faire un accord avec le gouvernement syrien qui a le devoir de protéger les frontières du pays et de préserver la souvereineté syrienne, pour que l’armée syrienne puisse accéder et se déployer le long de la frontière turco-syrienne afin de soutenir les FDS pour repousser cette agression et libérer les zones pénétrées par l’armée turque et ces mercenaires embauchés. Cet accord offre l’opportunité de libérer le reste des territoires syriens et les villes occupées par l’armée turque comme Afrin et d’autres villes et villages syriens. » Un extrait plus long est disponible ici en anglais.

De larges mouvements de troupe sont déjà en cours depuis plusieurs heures : les YPG ont évacué la quasi-totalité de leurs forces entre Serekanye et Tal Abyad tandis que des convois de l’Armée Syrienne Arabe (ASA) faisaient route vers Manbij. Des informations non-confirmées indiquent également que le convoi de l’ASA aurait été bloqué par les militaires américains, et que la Russie a rétabli la no-fly zone au-dessus de Manbij et Kobane.

Sur la carte, les zones mauves entourées de rouge sont les zones conquises par la Turquie depuis le 9 octobre.

Alors que l’État turc avait annoncé avoir pris le contrôle de Serekanye (Ras al-Ain) hier après-midi, la situation laisse apparaître ce dimanche matin que les Forces Démocratiques Syriennes ont repris le contrôle de la ville. Les gangs de djihadistes avaient effectivement pris le contrôle d’une bonne partie de la ville alors que les combattants YPG/YPJ étaient retranchés dans le quartier industriel, avec notamment le QG des YPG (c’est à Serekanye que la guérilla a été fondée en 2012). L’aviation turque a bombardé sans relâches, mais la contre-attaque aura payé. Des dizaines de djihadistes de « l’Armée Nationale Syrienne » (les supplétifs de la Turquie) ont été tués. Une dizaine de combattants internationalistes est toujours en première ligne face à l’envahisseur, comme en témoigne la vidéo plus bas.

Au cinquième jour de l’offensive, la Turquie en est toujours au même point, le contrôle des villages avoisinants Serekanye et Tal Abyad. La ville toute proche, Suluk, viendrait d’être prise par les forces coloniales. Pour ces deux seules villes 130.000 civils ont été déplacés. Les djihadistes à la solde de la Turquie se sont illustrés hier par deux massacres de civils dont les images ont été partagées sur internet et sont particulièrement insoutenables.

80 personnes étaient rassemblées devant la résidence de l’ambassadeur de France, 42 Bvd du Régent, à Bruxelles, à l’appel du Secours Rouge. Plusieurs prises de parole ont eu lieu, notamment pour célébrer la libération de Daniel Ruiz en Argentine et pour annoncer le rassemblement de solidarité avec le Rojava qui aura lieu aujourd’hui à 14h au Parvis de Sainht-Gilles. Prochains rendez-vous du « Mois d’Agitation pour Abdallah » : le 19 octobre à Lannemezan et le 26 octobre à Lille. Toutes les dates sur le site de la campagne freeabdallah.red

Libérons Abdallah à Bruxelles